Les robots soudeurs de Métal Marquis sont la voie de l’avenir pour l’entreprise de La Sarre

Jules Verne, George Orwell et Dennis DeYoung (le compositeur de Mr. Roboto) peuvent dormir en paix : ce qu’ils avaient prédit pour un avenir rapproché est maintenant réalité chez Métal Marquis, de La Sarre. L’entreprise, dont les activités sont diversifiées, compte deux nouveaux robots soudeurs, et un troisième risque de s’ajouter prochainement.

« Ces robots ne viennent pas prendre la place des humains, mais plutôt améliorer leurs conditions de travail, explique Alex Lamarche-Touzin, ingénieur chez Métal Marquis. Nous pouvons envoyer ces robots dans des endroits enfumés, poussiéreux, et à des endroits qui seraient potentiellement dangereux.  Sans oublier qu’ils pourront pallier la pénurie de main-d’œuvre. »

M. Lamarche-Touzin croit que les robots soudeurs auront d’autres avantages du point de vue humain. « Ils nous permettront de mieux former nos apprentis, croit-il. De plus, ils pourraient nous attirer des employés différents de ceux qu’on a l’habitude de voir. Le but ultime, c’est de repousser les limites du soudage. »

Le troisième robot sera plus destiné à l’usinage. « Lui aussi aura une interaction moindre avec les humains, indique M. Lamarche-Touzin. Il sera doté d’une fraiseuse et d’un tour à commandes numériques. » Et comme Métal Marquis offre une vaste gamme de services, « ça va de l’usinage à la réparation aux projets clé en main », explique Alex Lamarche-Touzin, la robotique est appelée à prendre une place grandissante dans l’entreprise.

Au total, Métal Marquis compte 120 employés, et a diversifié ses départements. Si l’usinage et l’ingénierie font partie des principales activités de l’usine, le concept clé en main vient ajouter des départements à l’entreprise : peinture, nettoyage au jet de sable, mécanique et hydraulique sont aussi des départements qui apportent de l’eau au moulin.

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