Les instances de gouvernance ne peuvent pas gérer une entreprise à la place du chef d’entreprise. De plus, lorsque ce dernier est actionnaire majoritaire, il décide sur toute la ligne. Pour aider le chef à prévenir les coups et à garder le cap dans les situations différentes, un comité consultatif doit être bien structuré et doit aussi avoir un encadrement dynamique. Dans cet article, Cercle GDP nous explique comment le comité consultatif peut épauler le chef d’entreprise à explorer toutes les options sur la table en cas de relève.
Est-ce qu’il y aurait une relève parmi les employés? Est-ce qu’une coopérative d’employés serait une option? Est-ce que l’on prépare l’entreprise à une vente ? Et si la relève familiale revenait sur sa décision par la suite, laisse-t-on la porte ouverte? Et si oui, comment?
Imaginez que votre comité soit mis en place pour vous guider vers la pérennité de votre entreprise. Dans un premier temps, il met les bons efforts pour la relève familiale et si le timing n’y est pas, ce comité prend les devants et vous propose des options; il vous aide à envisager différents scénarios. Ensemble, vous pourriez explorer les alternatives qui correspondent à vos valeurs et évaluer leur faisabilité. De plus, avec une telle ouverture et une réflexion approfondie, vous aurez l’opportunité d’augmenter la valeur de votre entreprise ou, au minimum, ne pas laisser de l’argent sur la table.
Rare serait un comité qui, par lui-même, pourrait combler tous ces besoins, mais avec une structure solide et éprouvée pour l’appuyer, ce comité peut exister. Pour cela, il doit avoir un système d’encadrement et de gestion de réunions hors pair.
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